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  FAQUIN Raymond inspecteur de police
à Montélimar Drôme

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  30 septembre 1982 - le juge d'instruction Patrick BROSSIER du TGI. de Valence me convoque
 
  07 septembre 1985 Procés Verbal de dégradation de mon véhicule matra sur un parking privé. Intervention de l'Inspecteur de police FAQUIN Raymond
 
  08 décembre 1988 : l'huissier Reimonen, l'inspecteur de police Faquin saisissaient irrégulièrement ma voiture

l'huissier Christian Reimonen et l'inspecteur divisionnaire de la Police Nationale Raymond Faquin saisissaient irrégulièrement ma voiture (pièce 1), et tentaient de me faire interner en hôpital psychiatrique.  P.V du policier Raymond Faquin  du 08 DEC. 1988, contenus dans le dossier de la Cour Appel Grenoble transmis à mon avocat Me Ribeyre d'Abrigeon le 09 janvier1990.

  16 décembre 1988 - PV de FAQUIN Raymond Inspecteur de police Montélimar Drôme
TRADUCTION de la fin de la page 2 :   AVIS AU PARQUET / De même suite, avons avisé le Procureur de la République à Valence ( M. MONDON) des faits et ce magistrat nous a ordonné d'établir la procédure et de la lui transmettre à l'issue de  l'enquête.
L'Inspecteur Divisionnaire : RF = aymond Faquin
 

Cette lettre se trouvait avec les pièce contenue dans le dossier du 05 septembre 1989 adressé par le parquet de Valence [26 - Drôme] a mon avocat Me Ribeyre d'Abrigeon de Privas [07 - Ardêche].

haut de la lettre de l'Inspecteur Divisionnaire R. FAQUIN au Procureur de la R￵blique de Valence

Montélimar, le 16 décembre 1988
L'Inspecteur Divisionnaire R. FAQUIN
En fonction au Cict de Montélimar.
à
Monsieur le PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE
à VALENCE.


OBJET / Rébellion à Officier Ministèriel (Huissier dans l'exercice de ses fonction.
Outrage Dénonciation calomnieuse de faits inexacts
Plainte abusive.

AFFAIRE C / BEGUIN née NICOUD Eliane le 8 novembre 1940 à MARSEILLE/ 13 - commerçante - dt 9 Rue Cuiraterie MONTELIMAR.

REFERENCE / Ma communication téléphonique du 8.12.88
Plainte de Me REIMONEN Christian Huissier de Justice à Montélimar
Ma plainte personnelle.

P. JOINTES / Six procès-verbaux
Une copie d'arrêt d'appel
Un certificat médical sans ITT.



En vous tranmettant les procès-verbaux ci-joints formant procédure de flagrant délit d'outrage, rebellion à officier ministériel et autres chefs, j'ai l'honneur de vous rendre compte des résultats de l'enquête effectuée.

Le 8 décembre 1988 à 16h30 [?], j'ai été requi officiellement par Me REIMONEN, Huissier de Justice à Montélimar, pour l'assister en ma qualité d'officier de la Force Publique et sur les instructions permanentes de M le Commissaire Principal chef du Commissariat de Montélimar, pour pratiquer une saisie exécution au magasin tentation Rue Daujat à Montélimar chez une [ ? illisible].

Cette assistance s'est faite conformément à la réquisition contenue dans l'arrêt de la Cour d'Appel de Grenoble emportant condamnation de Mme BEGUIN dont copie est jointe au présent.

Arrivé au dit magasin, lequel est ouvert au piblic et l'était à cette heure, sans aucun client à l'intérieur, Me REIMONEN a expliqué, papier à l'appui les raisons de sa visite et m'a présenté comme assistant de la force publique en raison de craintes de difficultés éventuelles (et prévisible vu le comportement antérieur de Mme BEGUIN) tout en faisant preuve de beaucoup de patience et expliquant les possibilités de recours qui appartenaient à cette personne.

.../...

Manifestement dès le début de l'entretien Mme BEGUIN avait l'intention de provoquer Me REIMONEN le traitant de "PEUREUX", lâche devant se faire accompagner par un "flic". Par provocation elle mis en marche un magnétophone au milieu de l'entretien demandant sans cesse deparler plus fort appelant au téléphone un "Capitaine" dans le but de nous impressionner masquant a peine des menaces de nous faire avoir des ennuis en raison de ces relations.

Le papier ayant été rempli par l'Huissier se dernier me déclara se retirer. C'est alors que Mme BEGUIN s'est opposée par la force a notre sortis se plaçant devant sa porte [ ?].......les phrases qui suivent sont illisibles ......... a cet instant Mme BEGUIN ne paraisseait plus maîtresse de son comportement nous nous sommes arrachés de son emprise physique à savoir quelle nous maintenait par les poignées tantôt l'un tantôt l'autre. Voyant que nous parvenions à sortir elle s'est volontairement laissé tomber contre son bureau en prenant bien soin de renverser deux ou trois objets de [ ? illisibles ] et en se mettant à crier qu'elle venait d'être agressée et blessée. Cependant qu'elle se relevait bien vite pour venir hurler dans la rue au secours. J'ai du alors faire appeler un magasin voisin pour prévenir mon service de m'envoyer une patrouilleuse. Survint alors un homme portant parka vers lequel Mme BEGUIN redevenue tout à fait calme comme par enchantement se dirige. sur les conseils de ce dernier elle allait au cabinet médical en face tandis que cet homme s'insatallé au magasin en vendeur. Les vérifications effectuées ont permis d'établir qu'il s'agissait d'un certain capitaine Gardet, du 45e RT de Montélimar, concubain de Mme BEGUIN, lequel manifestement sans rien connaître de l'affaire, semblait agressif envers nous laissant entendre qu'il userait [ ? totalement illisible ] encontre. En l'espèce apportant sa caution silencieuse à Mme BEGUIN, revenue quelques instants qui nous menaçait de ces foudres.

Me REIMONEN a déposé plainte pour ces faits à notre service, confirmant tout à fait ma propre déclaration.

Mme BEGUIN, convoquée à notre service comme mise en cause, non seulement n'a pas reconnue la version des faits mais a eu l'insolence de déposer plainte à mon encontre pour voies de faits, présentant un certificat médical ne mentionnant pas d'ITT. Ellle a même le lendemain déposé plainte contre Me REIMONEN pour abus de pouvoir.

En conclusion Mme BEGUIN c'est rendu coupable de délits d'outrage et rebellion à Officier Ministèriel dans l'exercice de ses fonctions ainsi qu'à Officier de Police Judiciaire en tentant de nous séquestrer dans son magasin puis en attirant bon nombre de passants en laissant entendre que nous étions des malfaiteurs. Elle s'est égelement rendue coupable de dénonciation calomnieuse de faits inexacts et deplainte abusive.

Il me parait utile de signaler que l'exécution de cette pièce de Justice était déjà relative à une condamnation de Mme BEGUIN pour une plainte abusive à l'encontre de M. SOUVETON vétérinaire, dans laquelle Mme BEGUIN a dénoncé des faits inexacts. Il semblerait que cette personne soit allergique à toute application de la Loi à son encontre. Par ailleurs elle semble coutumière d'un usage epistolier auprès de différentes autorités dans le but d'exercer des pressions. elle est également connue de la Gendarmerie locale pour se plaindre incessamment du manque

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de sagacité ou de résultats pour la solution d'affaires la concernant. Enfin elle n'hésite pas à faire état verbalement de nombreuses relations haut placées pour nous menacer de nous faire des ennuis sur le plan professionnel. C'est pourquoi j'ai également déposé plainte à son encontre pour tous les faits relatés dans la procédure jointe.

Voir la lettre de l'Inspecteur Divisionnaire R. FAQUIN =    Affichage + Grand



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De la Corruption au Crime d'Etat - CENSURE
Affaire BEGUIN-NICOUD Eliane - http://enbg-censure.net/
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